Henri KOCH, l’homme et l’artiste

Bruxelles, le 22 mai 1989

IN MEMORIAM HENRI KOCH

A l’occasion du vingtième anniversaire de la mort d’Henri Koch, je me devais de rendre un hommage à celui qui anima tant et si longtemps la vie musicale liégeoise.

Dès mon premier contact avec l’Orchestre de Liège, je fus impressionné par la personnalité rayonnante et généreuse de ce remarquable violoniste. Au-delà de la maîtrise incomparable qu’il conférait à son rôle de violon-solo, je fus frappé par l’enthousiasme passionné qu’il communiquait à l’orchestre pour les œuvres du répertoire et les nouveautés musicales.

Nous nouâmes vite des liens de profonde amitié qui devaient nous conduire à une collaboration artistique telle que je ne l’avais jamais connue auparavant dans ma carrière.

Jusqu’aux premières approches de cette longue maladie que, courageusement, il essayait de dominer, Henri Koch ne cessa de m’entretenir de ses préoccupations concernant les activités et l’avenir de l’Orchestre de Liège.

Avec fidélité et reconnaissance, j’honore respectueusement et affectueusement la mémoire de ce grand musicien.

Paul Strauss

JANSSENS L. : L’organisation professionnelle des Maîtres-Menuisiers de Bruxelles à travers les âges (catalogue de l’exposition, 1988)

Ce catalogue a été édité à l’occasion de l’exposition “L’organisation  professionnelle des Maîtres-Menuisiers de Bruxelles à travers les âges“, organisée par l’Association des Maitres-Menuisiers de Bruxelles et Halle-Vilvoorde, avec la collaboration de la Kredietbank, dans la salle d’exposition de la Kredietbank T’Serclaes, 22, Montagne-aux-Herbes-Potagères, 1000 Bruxelles (8 – 22 juin 1988).

  • © Luc Janssens
  • Traduction : Patrick Thonart
  • Éditeur responsable : Jan Leyssens, rue Jules Broeren 14 – 1070 Bruxelles

THEATRE NATIONAL : Pelléas et Mélisande (saison 1976-1977)

Le Théâtre National de Belgique (direction : Jacques Huisman) présente PELLEAS ET MELISANDE, un rêve de Maurice Maeterlinck, dans une mise en scène de Henri Ronse. Les décors, les costumes et les lumières sont de Beni Montresor ; la musique d’Arnold Schoenberg (décor musical de Yvan Dailly, avec la collaboration technique de Willy Paques ; régie de Michel Dailly.)…

C’était la saison 1976-1977, ma mère était costumière au Théâtre du Gymnase liégeois qui accueillait alors la troupe bruxelloise du TNB pour mon premier Pelléas (et mon premier Schoenberg après La nuit transfigurée). J’en ai gardé le programme, celui-là et les suivants. Etais-je déjà conscient que, bien des années plus tard, il servirait une de nos missions, chez wallonica.org : exhumer et pérenniser des publications qui ont vécu un temps puis, hélas, sont passées aux oubliettes, malgré leur intérêt réel. La technique au service de l’homme : nous avons scanné et “océrisé” (effectué la reconnaissance de caractères) le programme de l’époque et nous vous le livrons ici en texte intégral (révisé et corrigé), comme à l’accoutumée sans publicités. Le fichier PDF résultant de cette dématérialisation est disponible dans notre DOCUMENTA…

Patrick THONART

Pour en savoir plus, quoi d’autres que lire la retranscription intégrale de la plaquette (hors pubs), avec des illustrations sélectionnées par l’équipe wallonica.org… Tous en scène !

Dyckmans Ivan, Vue d’une ville portuaire (1977)

Architecte liégeois, Ivan Dyckmans a dessiné une ville portuaire à l’encre de Chine et à l’aquarelle…


Plus du même fonds…

OLIVER : Une Ourse dans le jardin (recueil, trad. Patrick Thonart, 2023)

Mary Oliver ?

Un des aspects les plus étonnants de la poésie de Mary Oliver est la continuité de ton, à travers une période d’écriture étonnamment longue. Ce qui change néanmoins, c’est une insistance plus marquée sur la nature et une plus grande précision dans l’écriture, au point qu’elle est devenue un de nos meilleurs poètes… Pas de plaintes dans les poèmes de Madame Oliver, pas de pleurnicheries, mais d’aucune manière l’impression que la vie soit facile… Ces poèmes nous soutiennent, plutôt que de nous divertir. Même si peu de poètes ont aussi peu d’êtres humains dans leurs poèmes que Mary Oliver, il faut constater que peu de poètes sont aussi efficaces pour nous aider à avancer.

Stephen Dobyns, New York Times Book Review

BÂTIMENT-BOUWKUNDE (n°256, décembre 1996 – janvier 1997)

Le magazine Bâtiment-Bouwkunde ciblait un lectorat essentiellement professionnel et avait une vocation tout aussi essentiellement publicitaire. La publication était bilingue et nécessitait l’intervention de traducteurs de chez nous, dont Patrick Thonart (cfr. ours en page 3). Ce numéro a été intégralement ‘océrisé’ (vous pouvez en copier-coller le texte) :