Hommage à Georges COLLIGNON (1923-2002)

(d’après une idée de Georges Collignon, fils)

QUI ÊTES-VOUS GEORGES COLLIGNON ?

Un fort belle histoire… de l’Art qui a commencé en 1939 à l’Académie des beaux-Arts de Liège et qui se poursuit inlassablement. Comment évoquer l’œuvre d’un de nos plus grands peintres belges, alors que les plumes les plus distinguées l’ont fouillée, analysée, aimée – ce qui constitue par ailleurs une bibliographie très intéressante ? En rappelant le plus simplement possible les temps forts de sa carrière.

La rencontre avec Paul KLEE, lors d’une visite à la biennale de Venise en 1948, paraît avoir été décisive dans l’engagement du peintre vers l’art non figuratif. Dès ce moment, il commence une oeuvre importante où son exceptionnel don de coloriste est mis en évidence. Sa probité et son amour du beau travail ne l’abandonneront jamais. Sa participation au mouvement CoBrA va le confirmer dans cette discipline et le faire connaître dans le circuit international de l’art.

En 1951, Il part pour Paris ety séjournera jusqu’en 1969. Il va tout naturellement avoir sa place dans les plus importants salons d’art abstrait de l’époque, aux côté d’un MAGNELLI, d’un ALECHINSKY, d’un DELAHAUT, d’un BURY … c’est une époque importante…

Découvrez la suite dans le document original, richement illustré…

BROUWERS : Liège sur scène (texte intégral, 2000)

Liège sur scène. Et pourquoi pas Liège sur Seine ? Ou Paris sur Meuse ? C’est que nous portons le cœur en bandoulière aux couleurs que chantait Chevalier et qui composent la fleur de Paris. Du Paris auquel Liège tente un peu de ressembler par son petit « Quatorze Juillet», sa frivolité, sa bohème, ses coquetteries et son négligé. Et puis par ses théâtres qui doivent plus à Paris qu’à Bruxelles. On y goûte davantage Molière ou Pagnol que Ghelderode ou Beulemans. Ces théâtres, je pense les avoir connus et crois continuer de les connaître, tous un peu tournés vers la France et sa culture, si ce n’est vers son folklore, ses modes ou ses manies. Cela va d’Ariane Mouchkine au Moulin Rouge, de Sartre aux chansonniers montmartrois.

Voilà presque cinquante ans que je vis le théâtre à Liège. J’avoue y avoir tout fait. J’ai été spectateur d’abord, puis critique, comédien, metteur en scène, il m’est même arrivé de faire une régie ou d’aider à planter un décor. J’essaie de continuer à pratiquer ce métier unique et que des milliers de gens rêvent d’exercer. Professeur d’art dramatique pendant vingt ans, j’en ai vu défiler des élèves de tous âges, irrésistiblement attirés par notre miroir aux alouettes ! J’ai aimé tous ces aspects du métier du spectacle.

Je crois que c’est comme spectateur que j’ai connu mes plus grandes joies. D’ailleurs, un comédien est d’abord un spectateur. Trop d’acteurs ont tort de n’aller jamais au théâtre. On y perd rarement son temps même si les dieux, certains soirs, ne descendent pas sur le plateau. Tout ce qu’on y peut observer ! Ne serait-ce que les spectateurs : notre public d’hier ou de demain. J’avoue penser comme Alfred de Musset : « Il faut dans ce bas monde aimer beaucoup de choses pour savoir après tout ce qu’on aime le mieux ». J’ai donc appris à tout goûter : l’opéra et le théâtre un peu fou que nous vivons depuis les années cinquante dont celui d’Arrabal (lequel a fini par mettre en scène un opéra à Liège), la haute comédie aussi bien que la revue, le drame, même quand « on distancie », selon la formule de Brecht, et la farce dialectale.

Tout cela m’a familiarisé avec le Royal, le Gymnase (l’ancien et le nou-veau), le Trocadéro et l’Étuve, la Courte Échelle et le Trianon, la Place et le Moderne, le Proscénium et vingt autres endroits où les déesses du théâtre ont posé cothurnes ou pieds légers. On leur a quelquefois écrasé les orteils ou pincé les fesses à Thalie et à Melpomène, mais elles ne se sont pas offensées de ces familiarités, pas plus que Molière ne s’est gendarmé quand on a détourné Harpagon de sa cassette ou Tartuffe de sa discipline. J’ai écrit un livret d’opéra-comique et cela m’a donné la joie d’approcher dans leur vie quotidienne des musiciens et des chanteurs ; deux de mes comédies ont été adaptées en wallon, et j’ai pu admirer le tour de force hebdomadaire de ces acteurs qui maintiennent vivant notre dialecte. J’ai aimé travailler avec des femmes et des hommes de radio et de télévision, j’ai profité des gaîtés du music-hall (comme on disait avant que ne règnent les variétés) et surtout, j’ai adoré approcher Beckett avec Olinger, le directeur du Théâtre des Capucins, de Luxembourg, ou retrouver Molière à Bruxelles dans une production de Laurent Gaspard.

Vous comprendrez que j’ai des choses à raconter. La vie est pleine d’incidents qui deviennent des anecdotes quand ils cessent d’être dramatiques. Qui ne prend plaisir à les relater, ces entremets de la vie, en y mettant un brin de mensonge, juste ce qu’il faut pour rejoindre la vérité ?

José Brouwers

BROUWERS J., Liège sur scène est paru chez Luc Pire / RTBF Liège en 2000. L’ouvrage est aujourd’hui épuisé et n’a pas été réédité.

Table des matières

      • Prologue
      • Acte I : Beaucoup de bruit pour rien
      • Acte II : Il ne faut jurer de rien
      • Acte III: Comme avant, mieux qu’avant
      • Acte IV : La main passe
      • Acte V : Faisons un rêve
      • Épilogue

Pour lire tout le livre…

ROULIN : Catalogue de l’exposition Sculptures dans la ville (Namur, 2002)

Cette exposition importante dans la ville de Namur donne un bon aperçu des sculptures réalisées ces dix dernières années. Dans mon parcours artistique marqué par la métallurgie du cuivre de ma ville natale, Dinant, et par les rochers de la Meuse qui ont influencé mon vocabulaire plastique, il y a eu une première période abstraite. Jeune artiste, l’abstraction dans les années cinquante était une façon d’être moderne et de rompre avec l’enseignement que j’avais reçu à l’École d’Art de Maredsous. En 1966, j’installe une première fonderie à Maredret et c’est la technique même du bronze coulé à la cire perdue qui me suggère le retour à la figure. La qualité, la finesse de la reproduction métallique, que je décris comme une opération quasi magique, m’y encourage. Depuis, je poursuis cette recherche où le corps humain prend une importance de plus en plus grande, jusqu’aux sculptures de cette exposition. Sols, colonnes de dimensions moyennes, sculptures monumentales sont installées sur les places de Namur. Exposés dans les bâtiments de la SMAP, les sites, sculptures de petites tailles aux sujets d’origines mythologiques, montrent un retour à la narration. Dans la Province enfin, plusieurs réalisations, signe urbain comme la Porte du Millénaire à Andenne, monument comme celui dédié à Adolphe Sax à Dinant, ou sculpture intégrée à l’architecture comme le Mur des Marcheurs de Gerpinnes sont autant de découvertes qui peuvent compléter cette exposition…

Félix Roulin, 2002

Pour en (sa)voir plus, téléchargez le catalogue intégral de l’exposition. Il est richement illustré et en 4 langues :

Les fugueurs du livre : Salon de la petite édition, indépendante et alternative (2024)

Les Fugueurs du livre au B3 (Liège)

Le Comptoir du livre est heureux de vous accueillir au salon des Fugueurs du livre 2024, rendez-vous incontournable de l’édition indépendante et alternative à Liège. Pour sa onzième édition, c’est au B3, espace public dédié à la lecture et à la vie culturelle, que prend place l’événement. Ce nouveau partenariat avec le centre de ressources et de créativité provincial permet d’articuler les traditionnelles activités du salon (éditeurs sur stands, dédicaces, rencontres et tables rondes) avec de nouvelles propositions : ateliers liés aux métiers du livre, visites guidées, accès inédit aux réserves.

Les Fugueurs du livre proposent cette année encore une programmation riche et variée, laissant la part belle à la prise de parole d’éditeurs émergents ou confirmés. Ils ont l’occasion par ailleurs de se déployer dans un lieu exceptionnel qui abrite les livres et les lecteurs : on ne pouvait rêver mieux pour célébrer le travail de celles et ceux que l’ASBL représente au quotidien !

Le Comptoir du livre ASBL.
Qui sommes-nous ?

Vitrine incontournable de l’édition alternative depuis 2001, le Comptoir des petits éditeurs et des métiers du livre (pour déplier son intitulé complet) est un lieu qui soutient les propositions des éditeurs indépendants, tous domaines confondus : littérature, livre d’artiste, revues, bande dessinée, albums illustrés, jeunesse et autres inclassables.

Soucieux de valoriser les démarches éditoriales dans une perspective double, à la fois contemporaine et patrimoniale, le Comptoir du livre met un point d’honneur à présenter ces ouvrages par maison d’édition, de manière aussi exhaustive que possible. À côté de ses activités de librairie, le Comptoir du livre organise tout au long de l’année des expositions en lien direct avec les publications qu’il propose au public. La vie du Comptoir est également ponctuée de rencontres avec une grande diversité d’acteurs du livre : auteurs et éditeurs, artistes et relieurs. L’ASBL est aussi à l’initiative d’événements de plus grande ampleur tels que le salon des fugueurs du livre et des événements thématiques (poésie sonore, écopoétique…) ainsi que d’une résidence annuelle, Ma Nuit au Comptoir.

Chacun de ces événements proposé par Le Comptoir vise à stimuler la création littéraire et artistique en lien avec la chaine du livre, tout en générant des dialogues avec des ouvrages plus anciens qui figurent dans nos stocks. C’est que le temps offert à un livre sur les tables de la librairie est lent ; il en va d’une certaine éthique dans notre mission de service au secteur éditorial indépendant. Nombre de chemins de lecture sont des autoroutes balisées. D’autres sont des sentiers de traverse où règne l’imprévu. Le Comptoir du livre aime à se perdre dans les terrains en friche, broussailleux et luxuriants, de l’édition, mais sans jamais perdre celles et ceux qui font le choix d’y entrer. Bastion, repaire, refuge, cabinet de curiosités, le Comptoir du livre est peut-être d’abord et avant tout le guide, non dogmatique, d’un voyage dont on ne connaît pas toujours la destination.

Le Comptoir
106 rue Féronstrée
B-4000 Liège
Tél. +32 (0) 493 995 335
comptoirdulivre.asbl@gmail.com
www.comptoirdulivre.be
Heures d’ouverture :
Du mercredi au samedi de 13h à 18h
Fermé dimanche, lundi et mardi.
Possibilité de visite sur rdv les lundi et mardi.

Cliquez ci-dessous pour retrouver les fiches signalétiques des exposants et des partenaires des Fugueurs : Actes Nord, éditions Antoine Degive, Antonio Jiménez Saiz, Archidoc, Artgo, Bandes détournées, Boustro, Bozon2x, Burn-août, Cactus inébranlable, le Caïd, CFC, le Chat polaire, David Cauwe, Daronnes, Dérivation, éditions des Instants, E2 Sterput, ESAC – Cambrai, Exemplaire, Fifi, Fourre-tout, la Gazette du rock, les Grands Champs, Hélène Jean bon, Hématome, la Grange Batelière, la Lettre volée, l’Âne qui butine, l’Arbre à paroles, l’Arbre de Diane, le Mulet, le Sabot, le Taillis pré, Les Carnets du Dessert de Lune, Les Éditeurs singuliers, Maelstrom, Mayak, Météores, Midis poésie, Murmure des soirs, Maxime Gillot (Hyper Studio], Ni Fait Ni à Faire, Panthère première, Papier machine, Partis pour, rétine, Riso des bois, Rotolux, Territoires de la mémoire, Vanloo, Volumen, VROUM, Yellow Now…

LIEGE : L’ancien palais des princes-évêques et des états du pays de Liège (1980)

Avant de devenir le siège du Gouvernement provincial et d’abriter quelques-uns des hauts magistrats du Royaume, le Palais des Princes-Evêques a connu de nombreux avatars dus à l’action d’hommes qui furent illustres ou anonymes, inspirés par le désir de réaliser un ouvrage prestigieux ou contraints par les vicissitudes d’une histoire principautaire aussi riche que tourmentée.

Aujourd’hui, cette étonnante création architecturale constitue sans doute le plus éclatant témoignage de la pérennité liégeoise.

J’ose espérer que la diffusion de la présente brochure, réalisée grâce à l’active collaboration du Ministère des Travaux publics et de la Province de Liège, contribuera un tant soit peu à rendre moins fugace l’inévitable envoûtement que ce vénérable monument exercera sur tous ceux qui, dès 1980 et grâce au Millénaire de la Principauté, auront enfin la chance de le visiter plus systématiquement.

Gilbert MOTTARD, Gouverneur de la Province de Liège

Cliquez ici…

Pour en savoir plus, lisez des extraits de la brochure dans notre TOPOGUIDE ou découvrez ses différentes illustrations, ici…

 

CLERDENT : Cheminement belge du TGV européen (1990)

“Il aura fallu plus de cinq ans à nos Gouvernements pour arrêter officiellement, à la fin du mois de janvier [1990], l’itinéraire du TGV-Nord dans notre pays. La décision est sans surprise ; elle se dissimulait déjà entre les lignes de l’accord du 10 mai 1988 ; de nombreux signes l’annonçaient de plus loin encore. Pendant cinq ans, l’IRI [Innovation et Reconversion Industrielle, asbl] s’est employée sans relâche à faire triompher la solution digne de l’Europe et conforme aux intérêts nationaux. Le plan gouvernemental en est parfois loin quoique des points essentiels soient acquis. La situation qui en résulte, vaut d’être examinée d’autant plus qu’un dossier, même clôturé, n’est jamais achevé.

Ces pages ne sont pas un manifeste, encore que l’IRI qui a lutté au nom des forces économiques liégeoises pour que le TGV passe par Liège et s’arrête à la gare des Guillemins, puisse se réjouir d’avoir, sur ce point, obtenu gain de
cause.

Ce n’est pas, non plus, une contribution – qu’il eût fallu détailler considérablement – à l’histoire du dossier, bien que des faits singuliers, l’éclairant d’un jour très caractéristique, aient été relevés au hasard des circonstances.

Ce n’est pas, enfin, une radioscopie de l’exercice du pouvoir dans notre Etat
fédéral quoiqu’on ne puisse ignorer combien la décision finale du Gouvernement durcit les horizons régionaux et accuse son impuissance à les dépasser, à dégager les besoins d’une grande idée et à y répondre.

Non, ces quelques pages n’ont rien de polémique ni d’aussi ambitieux. Elles sont une réflexion sur un fait important de notre temps et un ultime appel au bon sens pour le mieux comprendre.”

Pierre Clerdent, Président de l’I.R.I.

Pour tout savoir :


[d’après CONNAITRELAWALLONIE.WALLONIE.BE] Pierre CLERDENT 5Liège 29/04/1909, Chaudfontaine 11/06/2006). Docteur en Droit de l’Université de Liège (1934), collaborateur de Paul Tschoffen et avocat près de la Cour d’Appel de Liège (1934-1945), il devient le secrétaire particulier du ministre Antoine Delfosse (1939). Délégué du ministre à l’INR et directeur du Comité permanent de la radio belge (1940), réfugié en France, il rentre au pays (été 1940) et fonde l’Armée de Libération dont il devient le chef national.

“Max” © cegesoma

Colonel de Résistance, président de l’Union nationale et du Conseil national de la Résistance, résistant de premier plan, Pierre Clerdent alias « Max » est désigné en 1943 par le gouvernement belge à Londres, comme administrateur de la Radiodiffusion nationale belge en territoire occupé. Le 4 septembre 1944, il lui revient l’honneur d’inaugurer les ondes libérées.

Présent au Congrès national wallon d’octobre 1945, P. Clerdent est sensible aux problèmes économiques de la Wallonie, participe à l’expérience politique de l’UDB et contribue à la naissance et au développement du Conseil économique luxembourgeois au moment où il est nommé gouverneur du Luxembourg (1946-1953), avant de devenir le gouverneur de la province de Liège (1953-1971). Durant plus de 25 ans, il anime le Comité européen pour l’aménagement de la Meuse et des liaisons Meuse-Rhin. Il contribue à la fondation de la SPI (Société provinciale d’Industrialisation) et prend la responsabilité d’organiser une consultation populaire auprès des habitants des six communes de Fourons (28 octobre 1962).

En 1971, Pierre Clerdent démissionne de son poste de gouverneur pour des raisons de santé. Après plusieurs mois de convalescence, il devient le président du conseil d’administration de la SA Cockerill (1971-1981) et celui de l’Union minière et industrielle (1973-1990). Alors que viennent d’être votées les lois d’août 1980, Pierre Clerdent se présente à 72 ans sur les listes du PRL au Sénat, où il est directement élu (1981-1987). Il siège également au Conseil régional wallon où son parti est l’une des composantes de la majorité (1981-1987). En décembre 1981 comme en novembre 1985, Pierre Clerdent préside l’assemblée wallonne en tant que doyen d’âge.

Sénateur coopté (1988-1991), il ne siège plus dans les assemblées fédérées. Parmi les nombreux dossiers dont il eut à s’occuper ressort sa volonté de désenclaver la Wallonie et de l’inscrire dans les grands réseaux de communication européens. Sa défense passionnée en faveur du passage et de l’arrêt du TGV à Liège en témoigne.

Paul Delforge, Institut Jules Destrée

MELAGE : L’âme belge, Poèmes pour le centenaire (1930)

MÉLAGE (F.). L’âme belge. Poèmes pour le centenaire. Carlsbourg, Édition de la revue belge de pédagogie, 1930; in-4, 60 pp., broché, couverture rempliée. Avec les illustrations de F. Mabin-Joseph.

Nous avons transcrit l’intégralité du texte dans la POETICA…

Curieux ? Téléchargez le document complet ici…

DESIRON & HICK : invitation au défilé IO du 10 mars (Liège, années 1980)

Josette LIZEN & Myriam HICK ont créé une ligne de vêtements “très design” dans les années 80, baptisée IO. C’était logique, puisque le cadre initial de leurs créations était le magasin de mobilier design que Josette et son mari René DESIRON animaient rue des Clarisses à Liège. Malgré les interprétations variées du nom de la marque elle-même (io ? lo ? 10 ?), plusieurs défilés ont été organisés avec des mannequins volontaires, proches de l’équipe (sur l’invitation, on voit Catherine Francotte), comme ici, dans les salons de l’Emulation. Souvenirs, souvenirs…

Les différents éléments de l’invitation sont téléchargeables ci-dessous :

      • l’invitation complète,
      • le texte en papier couché et
      • la photo imprimée sur papier transparent.

VAN HEULE : Le meuble liégeois (1952)

Si l’art est né d’une conception spiritualiste, son évolution est due à une suite de courants étrangers, d’échanges, auxquels chaque peuple apporte son génie propre. D’où différenciation dans l’unité. S’il est un art dans lequel les Liégeois ont excellé, c’est bien celui du meuble. Le meuble est né d’une nécessité, celle de rendre la vie plus commode [sic] et de conserver des objets précieux en les mettant à l’abri des déprédations ou des tentations. Au début, bancs, sièges pliants, tabourets pour s’asseoir, planches sur tréteaux en guise de table, lits, coffres formés de lourdes planches maintenues à queue d’aronde, c’était rustique. La recherche, l’élégance vinrent ensuite…

La suite est disponible dans la brochure scannée avec reconnaissance de caractères à télécharger ci-dessous…

PLANCHES dans le document

Tous les meubles figurés sur les planches qui vont suivre, ainsi que beaucoup d’autres, sont exposés dans les Musées de la Ville de Liège :

Le texte de l’introduction est transcrit dans notre WALLONICA…

THONART : Auprès de quelle cour Salman Rushdie pouvait-il déposer les conclusions suivantes, pour que justice soit faite ? (Catalogue de l’expo “Le vent de la Liberté, Welkenraedt, 1994)

PDF-OCR de l’article de Patrick Thonart publié dans le catalogue de l’exposition Le vent de la Liberté (1994, Welkenraedt, BE). Plusieurs articles à ce propos sont disponibles dans wallonica.org :