Projet METAL : la traduction automatique avant l’an 2000

METAL – Le Système de Traduction Automatique

Introduction

METAL est un système informatique modulaire qui permet de traduire des textes dans d’autres langues. Actuellement, la version allemand-anglais est disponible. Les paires de langues néerlandais-français, français-néerlandais, anglais-allemand et allemand-espagnol seront disponibles dès le début de 1990. D’autres paires de langues sont en préparation.

METAL convient pour la traduction de textes techniques et spécialisés. Son utilisation est particulièrement indiquée lorsqu’il s’agit de traduire des quantités importantes de textes dans des laps de temps très courts, p. ex.

      • des offres,
      • des descriptions techniques,
      • des modes d’emploi,
      • des manuels de maintenance,
      • des nomenclatures, etc.

La mise en oeuvre du système METAL se justifie donc principalement dans l’industrie, le commerce, les administrations publiques, les institutions scientifiques ainsi que dans les bureaux de traduction – c’est-à-dire partout où l’on doit traduire une quantité considérable de textes ayant trait à des domaines spécialisés.

Le système METAL offre plusieurs avantages à son utilisateur :

Cohérence de la terminologie

Lorsque plusieurs personnes traduisent de la documentation technique relative à un même thème spécifique, il est quasiment impossible, avec les moyens habituels, de garantir l’uniformité de la terminologie utilisée. Ceci entraîne souvent une diminution de la qualité des textes, ainsi que des frais supplémentaires. METAL vérifie la terminologie du texte source et la traduit de manière cohérente dans la langue cible et ce, quelle que soit l’ampleur du document considéré.

Gain de productivité

Après une période d’apprentissage et la constitution de dictionnaires spécifiques, METAL permet d’obtenir un accroissement significatif de la productivité. Il est possible de traiter plus vite un volume de traductions toujours plus important et de faire face à des charges maximales de travail. L’exploitation de METAL est particulièrement rentable lorsqu’il importe de traduire un grand nombre de textes pour lesquels la terminologie utilisée est identique. METAL fournit, dans l’état actuel de la technologie en la matière, la meilleure traduction brute possible. Il met en outre à la disposition du traducteur spécialisé des outils performants et conviviaux pour effectuer la révision du texte brut.

Conservation du format

Le format de la traduction produite par METAL est parfaitement fidèle à celui du document original. On évite ainsi les opérations de redactylographie et de reformatage du texte traduit.

Environnement de traitement de texte

METAL est intégré à un environnement de traitement de texte et dispose d’interfaces pour le transfert de textes provenant d’autres systèmes (via une ligne de transmission ou à partir d’une disquette), et pour le raccordement d’un lecteur de pages, etc. Ces ressources peuvent également être utilisées en dehors du cadre de la traduction automatique. METAL permet donc de couvrir toutes les étapes qu’implique un processus de traduction complet, de la saisie du texte à la composition du document final, en passant par la traduction.

Dictionnaires modulaires

Les dictionnaires du système METAL sont organisés en modules généraux et spécifiques (lexiques spécialisés). De la sorte, on garantit, dans le texte cible, l’emploi des termes techniques propres au langage de spécialité concerné. La terminologie peut également être définie individuellement en fonction d’un client ou d’un produit, voire d’un pays déterminé. Un système expert intégré permet l’extension et la mise à jour aisées des dictionnaires.

Système IA (Intelligence Artificielle)

METAL est un produit basé sur les résultats d’un programme de recherche approfondie lancé il y a plusieurs années. Sa conception et son développement reposent sur l’utilisation des techniques de l’Intelligence Artificielle. De ce fait, dans le domaine de la traduction assistée par ordinateur, METAL se positionne comme un système de pointe. METAL est structuré de manière à pouvoir intégrer sans aucun problème les résultats des développements ultérieurs. L’utilisateur possède donc un système qui peut être enrichi au fur et à mesure de l’évolution de la technologie.

Configuration

Le logiciel central de METAL est écrit en langage de programmation LISP et tourne sur un processeur spécial. Le programme de traitement de texte et les programmes utilitaires sont implantés dans un système multi-utilisateur fonctionnant sous SINIX (le système UNIX de Siemens). Des interfaces y sont disponibles pour la liaison avec d’autres systèmes. METAL s’intègre parfaitement dans un environnement de bureau. Les dimensions, le niveau sonore et le dégagement de chaleur des appareils correspondent aux valeurs admises dans un tel environnement. L’ergonomie des postes de travail a été particulièrement étudiée. Les utilisateurs sont pilotés à travers toutes les fonctions par le biais d’un système de menus; de l’introduction des textes jusqu’au reformatage automatique, toutes les opérations sont exécutées avec le même système de traitement de texte. De plus, grâce au système d’exploitation multi-utilisateur SINIX, plusieurs utilisateurs peuvent travailler en même temps et avoir également recours à toutes les autres fonctions offertes par le système. La traduction proprement dite s’effectue en arrière-plan, sans influencer les autres tâches se déroulant sur le système sous SINIX. Les dictionnaires du système sont mis à jour et étendus à partir de l’écran central du processeur LISP, pour tous les postes de travail. Ceci garantit en permanence l’uniformité de la terminologie.

Introduction de texte

Il y a quelques années, le transfert et l’intégration des textes originaux dans un système de traduction posaient encore de nombreux problèmes. Aujourd’hui, de plus en plus de documents sont rédigés sur un système de traitement de texte. Ceci signifie que les textes se présentent déjà sous une forme lisible par la machine et qu’ils peuvent être intégrés dans le système METAL via une ligne de transmission de données ou par échange de supports de fichiers. Si les textes à traduire ont été dactylographiés à l’aide d’une machine à écrire, un logiciel est fourni qui, moyennant le raccordement d’un lecteur de pages, permet d’introduire ces textes dans le système. En résumé, les possibilités suivantes sont offertes pour l’introduction des textes :

      • transfert de fichiers via une ligne de transmission de données
      • mise en mémoire à partir d’une disquette
      • saisie optique de texte par lecteur de pages
      • saisie manuelle de texte via le clavier.

Format des textes : préparation et reformatage de texte

D’ordinaire, les textes techniques sont fortement structurés et formatés. En dehors des unités de texte proprement dites, il existe de nombreux caractères qui ne doivent pas être traduits. Parmi ceux-ci, on trouve les caractères de contrôle pour l’impression, l’identification des paragraphes, les renfoncements, les tableaux, etc… Le format d’une traduction réalisée par METAL est identique à celui du document original ; tous les caractères de contrôle utilisés sont conservés. Cela signifie que les opérations de redactylographie et de reformatage du texte traduit ne sont plus nécessaires. METAL génère un masque du document original avec ses données de format. Sur base d’une méthode d’analyse complexe, le texte est subdivisé en unités de traduction qui sont ensuite transférées vers le programme de traduction proprement dit. Une fois traduites, les parties de texte sont automatiquement mises dans le masque, à l’endroit exact où elles se trouvaient dans le document original. Cette opération a lieu avant et après la postédition. L’utilisateur est donc ainsi libéré de tâches routinières fastidieuses.

Pré-analyse lexicale

Pour réaliser une traduction, le système METAL utilise des informations lexicales, morphologiques, syntaxiques et sémantiques propres à la langue source et à la langue cible ainsi que des informations de correspondance (qui dépendent du contexte) entre les deux langues. Au cours de la première phase de la traduction (après la saisie du texte), un programme de pré-analyse recherche les mots que le système ne connaît pas (acronymes, néologismes, etc.). Ce même programme propose également diverses traductions possibles pour les mots composés qui n’existent pas en tant que tels dans le dictionnaire, mais dont la signification est probablement la “résultante” de leurs composants bien présents, eux, dans les dictionnaires (cas fréquent dans les textes techniques). Le traducteur dispose, au cours de cette phase, de moyens performants pour introduire les termes manquants. En effet, un système expert propose automatiquement un certain nombre d’options implicites pour l’encodage des nouveaux mots, ce qui permet d’accélérer considérablement le processus. A côté des dictionnaires ainsi constitués, l’utilisateur peut également créer et coder ses propres glossaires. 11 est aidé en cela par ce même système expert. Les dictionnaires du système sont dotés d’une structure modulaire et hiérarchique. Ceci permet d’éviter toute redondance et d’obtenir une traduction précise de la terminologie pour chaque domaine spécialisé. Par ailleurs, il est possible de coder des termes en référence à un client déterminé, à un produit spécifique ou à des particularismes de langage (p.ex. l’anglais utilisé en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis).

Traduction

METAL est un système modulaire, non lié à une langue particulière. Le processus de traduction comprend trois phases essentielles, à savoir l’analyse, le transfert et la synthèse. Au cours de la première phase, tous les éléments constitutifs de la phrase sont analysés sur base des règles grammaticales et des informations reprises au dictionnaire de la langue source. Une fois définies les fonctions de tous les mots dans la phrase ainsi que leur signification, la phrase est transposée dans la langue cible au cours de la phase de transfert. Dans le cadre de la phase de synthèse, les structures et les formes spécifiques de la langue cible sont générées. A l’attention des linguistes, précisons que METAL utilise un Chart Parser qui applique des règles récursives de structure de phrase indépendantes du contexte et qui crée la structure arborescente la plus plausible d’une phrase sur base d’un système interne de préséance de règles et d’informations lexicales. Cet “arbre” est transformé en structure appropriée dans la langue cible. METAL ne traduit donc pas mot à mot, mais bien en tenant compte du contexte. Compte tenu de la structure du système, non liée à une langue déterminée, le résultat de l’analyse d’un même texte source peut donc en général être utilisé pour la traduction dans plusieurs langues cibles différentes. Ceci représente un avantage indéniable lorsqu’un même document doit être traduit dans plusieurs langues.

Postédition

METAL fournit une traduction brute. Cette traduction doit être retravaillée si l’utilisateur désire une version plus élaborée sur le plan stylistique. Un système de traitement de texte convivial permet d’effectuer cette révision. Le format du document source est – comme cela a déjà été expliqué auparavant – recréé par un programme et ne doit plus faire l’objet que d’une simple vérification.

Structure des dictionnaires

METAL utilise des dictionnaires unilingues distincts pour la langue source et pour la langue cible. Ils contiennent les informations grammaticales et sémantiques nécessaires à l’analyse et à la synthèse. La traduction proprement dite du mot est fournie par le dictionnaire de transfert. On y trouve des informations relatives au contexte dans lequel un mot “A” de la langue source doit être traduit par un mot “B” dans la langue cible. Les dictionnaires sont structurés hiérarchiquement en fonction des domaines de spécialité. Les modules Vocabulaire Fonctionnel (articles, prépositions et autres mots fréquents importants pour l’analyse grammaticale), Vocabulaire Général et Vocabulaire technique Général sont inclus dans la version de base du produit. Si nécessaire, l’utilisateur peut structurer des modules qui lui sont propres et même des lexiques spécifiques à un produit ou à un client. Avant d’entamer une traduction, le traducteur indique le domaine spécialisé dont relève le texte à traduire. La recherche s’opère d’abord dans le module spécifié, les modules plus généraux n’étant interrogés que lorsque le terme recherché n’y figure pas. L’utilisateur est ainsi assuré, lorsqu’il s’agit d’un texte spécialisé, de ce que le système utilisera toujours en premier lieu la terminologie spécifique. Lorsque le traducteur choisit un module contenant des particularismes ou des variantes propres à une langue telle qu’elle est utilisée dans un pays déterminé, il garantit en outre au destinataire de la traduction l’emploi du vocabulaire qui lui est familier.

Traitement des travaux

Des activités créatives telles que la traduction ne peuvent être menées à bien sans une certaine organisation. Plusieurs travaux de traduction, dont les priorités et les délais d’exécution sont différents, doivent être planifiés et traités. Dans le système METAL, les divers travaux de traduction sont placés dans une file d’attente. Les travaux urgents sont exécutés en priorité ; des logiciels intégrés effectuent un contrôle et une comptabilisation des travaux et renseignent à tout moment le traducteur sur l’état d’avancement de ses traductions. Ceci permet de garantir le respect des délais.

Utilisation

METAL exécute toutes les phases du processus de traduction, de la saisie et de la vérification terminologique à la traduction brute et à la création totalement intégrée de documentations multilingues. En plus des avantages liés à l’accroissement de la productivité et à la cohérence de la terminologie, le respect du format constitue un atout important. L’utilisation du système ne requiert pas de connaissances particulières en programmation ou en linguistique. Tout traducteur peut, après une période d’apprentissage ad hoc, utiliser le système et en assurer l’administration. METAL donne ainsi à ses utilisateurs les moyens de réaliser des traductions de qualité de documentations toujours plus volumineuses, tout en respectant des délais de production toujours plus courts.

[Transcription de la brochure explicative à télécharger ci-dessous. Cette dernière contient des schémas complémentaires et une brochure promotionnelle richement illustrée]

LEFEVERE S., La crevette grise (IRSN, 1960)

L’IRSN : les curieux connaissent en général plutôt bien son avatar moderne, le Muséum des Sciences naturelles, mais pas forcément l’institut de recherche dont il est la vitrine. Pour en savoir plus : Institut royal des Sciences naturelles de Belgique ou NATURALSCIENCES.BE.

Nous parlons d’un temps que les moins de vingt ans… En 1960, le Patrimoine de l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique publiait ses Carnets du Service Educatif. Le numéro 11 était consacré à… la crevette grise. Son auteur, Sylvain LEFEVERE, était assistant à l’IRSN et a déployé des trésors de pédagogie pour donner goût aux savoirs contenus dans l’opuscule. Profitez-en en cliquant ci-dessous…

LEFEVERE S., Le hareng (IRSN, 1960)

L’IRSN : les curieux connaissent en général plutôt bien son avatar moderne, le Muséum des Sciences naturelles, mais pas forcément l’institut de recherche dont il est la vitrine. Pour en savoir plus : Institut royal des Sciences naturelles de Belgique ou NATURALSCIENCES.BE.

Nous parlons d’un temps que les moins de vingt ans… En 1960, le Patrimoine de l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique publiait ses Carnets du Service Educatif. Le numéro 9 était consacré au… hareng. Son auteur, Sylvain LEFEVERE, était assistant à l’IRSN et a déployé des trésors de pédagogie pour donner goût aux savoirs contenus dans l’opuscule. Profitez-en en cliquant ci-dessous…

LEODICA : Passeports Encyclo (dossier de présentation)

“On vous l’a souvent rappelé. Le blog encyclo wallonica.org est l’héritier d’une vénérable initiative (“vénérable” parce que lancée dans les années 2000), à l’occasion d’un partenariat Wallonie-Québec ; l’encyclopédie québécoise de l’Agora partageait ses bases de données (= les articles) avec des petits wallons, constitués en sprl LEODICA, qui les alimentaient en contenus et diffusaient le tout via une interface (= le site proposé aux visiteurs) proprement “Wallonie-Bruxelles”. L’aventure a connu différentes péripéties et, notre encyclopédie, différentes adresses : de encyclopedie-agora.org à walloniebruxelles.org, vous avez eu différentes portes auxquelles sonner pour exercer votre droit de savoir-s !” [Lire la suite dans wallonica.org…]

LEODICA : Passeports Encyclo (affichette A4)

“On vous l’a souvent rappelé. Le blog encyclo wallonica.org est l’héritier d’une vénérable initiative (“vénérable” parce que lancée dans les années 2000), à l’occasion d’un partenariat Wallonie-Québec ; l’encyclopédie québécoise de l’Agora partageait ses bases de données (= les articles) avec des petits wallons, constitués en sprl LEODICA, qui les alimentaient en contenus et diffusaient le tout via une interface (= le site proposé aux visiteurs) proprement “Wallonie-Bruxelles”. L’aventure a connu différentes péripéties et, notre encyclopédie, différentes adresses : de encyclopedie-agora.org à walloniebruxelles.org, vous avez eu différentes portes auxquelles sonner pour exercer votre droit de savoir-s !” [Lire la suite dans wallonica.org…]

LEODICA : Passeports Encyclo (brochure)

“On vous l’a souvent rappelé. Le blog encyclo wallonica.org est l’héritier d’une vénérable initiative (“vénérable” parce que lancée dans les années 2000), à l’occasion d’un partenariat Wallonie-Québec ; l’encyclopédie québécoise de l’Agora partageait ses bases de données (= les articles) avec des petits wallons, constitués en sprl LEODICA, qui les alimentaient en contenus et diffusaient le tout via une interface (= le site proposé aux visiteurs) proprement “Wallonie-Bruxelles”. L’aventure a connu différentes péripéties et, notre encyclopédie, différentes adresses : de encyclopedie-agora.org à walloniebruxelles.org, vous avez eu différentes portes auxquelles sonner pour exercer votre droit de savoir-s !” [Lire la suite dans wallonica.org…]

La vie liégeoise n°10 (octobre 1974)

Ami lecteur, que tu sois de chez nous ou que tu viennes d’au-delà de nos frontières, la Ville de Liège est heureuse de te recevoir chez elle. Elle te souhaite la plus cordiale bienvenue et te rappelle que l’Office du Tourisme est à ton entière disposition pour te servir.

L’article consacré à la rue du Pont à Liège est entièrement retranscrit dans le topoguide

CAHIERS MARXISTES n°165 : 1789-1989 (janvier-février 1989)

La Révolution française est comme une borne dans l’histoire de toutes les nations.

Ce constat de l’historien marxiste Eric Hobsbawm suffirait-il à justifier la présente livraison des cm, presque entièrement consacrée à 1789. On ne nous soupçonnera pas d’entrer en compétition avec les fastes français du bicentenaire, grandioses et déjà envahissants.

Guy Lemarchand, professeur à l’université de Rouen, traite en expert de la situation en France à la fin de l’ancien régime. Robert Devleeshouwer, ancien professeur à l’université de Bruxelles, signe un texte original et impétueux sur la révolution française et la Belgique. Quant à Philippe Raxhon, jeune historien liégeois, il explore pour nous un événement mal connu, le centenaire de la révolution française dans la cité ardente.

Une substantielle note de lecture de Claude Renard sur 1789 dans les provinces belgiques complète cette série “révolutionnaire”.

Rosine Lewin, rédactrice en chef

Concert AC/DC (Palais des expos de Namur, 1980)

“C’était vraiment un concert mythique parce que c’était la toute première fois que Brian Johnson se produisait sur scène après la mort de Bon Scott” évoque Christophe Halbardier. Sans compter qu’il s’agissait aussi d’une première présentation des morceaux de Back In Black, devenu un album légende du groupe. “Quand on y repense, c’est complètement fou”, s’exclame le journaliste. [RTBF.BE] © Philippe Vienne

wallonica.org : les photos de Philippe Vienne ont également servi à l’initiative de création de la nouvelle esplanade AC/DC de Namur…

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Concert AC/DC (1980) : 04 - hdef 5.06 MB 6 downloads

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Concert AC/DC (1980) : 12 - hdef 5.06 MB 3 downloads

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C’est aussi dans le fonds Vienne…

Concert Nina HAGEN (Ancienne Belgique, Bruxelles, 1980)

Clichés pris pendant le concert de NINA HAGEN à l’Ancienne Belgique, le 15 septembre 1980, à Bruxelles (BE). © Philippe Vienne

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Nina Hagen au micro (1980) 61.64 KB 4 downloads

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Nina Hagen fait la moue (1980) 26 Ko 7 downloads

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C’est aussi dans le fonds Vienne…